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lundi 23 novembre 2009

dur, dur d'être un chat-toon !


- Colibri, t'as fini de me prendre pour une peluche, c'est plus de ton âge !
"Quoi, quoi, qu'est-ce qu'il a mon âge ??? Attends, je cherche mes lunettes, et tu vas voir, mon petit Zeb, comment je vais te tanner le cuir, insolent !".
- Pfffff... ELLE passe son temps à chercher ses lunettes, que dis-je, ses loupes de lecture, ELLE ne veut même pas aller chez l'ophtalmo pour l'instant, et pourtant, je vous jure, ELLE en aurait besoin ! Hi hi, des fois ELLE ne me voit même pas, quand je suis roulé en boule, tout noir, ELLE me cherche partout... alors que je suis sous ses yeux !"
"Euh, Zeb, n'oublie pas que c'est toi qui as un âge canonique "...
- Canon, tu as dit, ah oui, je suis canon, t'es trop gentille, Colibri !"

lundi 2 novembre 2009

Ne m'oublie pas

Coucou, Colibri, ne m'oublie pas, tu as des milliers de photos de moi à publier... Sans compter celles de mes copains et copines... Je compte sur toi, hein ? Je vous ai tous à l'oeil, même si j'ai l'air de dormir... les yeux grands ouverts sur votre monde !


Colibri : "T'oublier, ma boule de poil, mon sac à puces, mon pot de colle, quand, à chaque instant de ma vie depuis plus de 18 ans, tu es présent, sur mes talons, quitte à me faire casser la figure dans les escaliers, dans mes bras rien que pour m'empêcher de lire ou d'écrire, sur ma tête où ton doux (non, ton tonitruant ronron) m'a quelquefois empêchée de dormir, sur mes genoux dans un endroit où on est censé se concentrer sur un acte très créatif (c'est pas moi qui l'ai dit, mais des éminences grises !), sur le bord de ma baignoire quitte à te casser la figure et à prendre un bain toi-même, sur ma table lorsque je déjeune pour réclamer un bout de beurre, sur mon bureau lorsque j'essaie de travailler pour faire bouillir ta gamelle, sur mon dos lorsque je jardine, dans mes pulls lorsque, par inadvertance, j'ai oublié de fermer l'armoire, dans la cuisine, à l'heure du dîner, pour me rappeler que j'ai oublié de m'occuper de toi, où je te trouve planté droit comme la justice devant ton assiette vide, sous les draps du lit où tu adores jouer à la bête des cavernes, derrière une porte pour me surprendre et jouer à cache-cache... Oublier ce joli petit coeur qui illustre ton museau comme un signe incontestable de ta placidité, de ta gentillesse envers tes congénères et nous, les humains ? JAMAIS, mon petit Bubul ! Allez, promis, je me remets à ton blog ! La preuve !